« Kafka ne tirait ni joie ni peine de rien ni personne. Simplement, il se sentait mal à l’aise depuis ce matin de 1883 où, alors que tout allait bien pour lui, il est né ».
Dans son Dictionnaire Superflu à l’usage de l’élite et des bien nantis, Desproges résume admirablement le personnage.
À lire et relire sans modération « La Métamorphose » ou encore « Le Procès »… Privilégier les traductions d’Alexandre Vialatte, autre phénomène littéraire époustouflant.
Projet de court métrage inspiré par ce chantre de l’absurde. 2025
Publié le 21 Nov, 2020